En Suisse, un problème croissant impacte la population

À l’échelle mondiale, l’obésité est en forte progression et le poids croissant qu’elle représente est synonyme, pour les populations, de conséquences sanitaires désastreuses et, pour les pouvoirs publics, de dépenses considérables. Et la Suisse ne fait pas exception à la règle.

Véritable processus pathologique, l’obésité se définit comme une accumulation excessive de graisse corporelle susceptible de nuire gravement à la santé d’un individu. Son diagnostic clinique s’établit généralement via le calcul de l'indice de masse corporelle (IMC) lequel, correspond au poids (en kg) divisé par le carré de la taille (en mètres).

Tableau de l'IMC

Catégorie de poids BMI
Fort déficit pondéral < 16,0
Poids modérément insuffisant 16,0 - 16,9
Poids légèrement insuffisant 17,0 - 18,4
Poids normal 18,5 - 24,9
Préadiposité 25,0 - 29,9
Obésité de degré I 30,0 - 34,9
Obésité de degré II 35,0 - 39,9
Obésité de degré III > 40,0

L’IMC est une méthode simple permettant de déterminer la masse grasse d’un individu. À titre d’information, on parle de surpoids dès lors qu’un IMC se trouve compris entre 25 et 29,9 et d’obésité lorsqu’il dépasse 30. L'obésité résulte avant tout d’un déséquilibre entre apports et dépenses caloriques (énergétiques), le présent déséquilibre, favorisé par un accroissement du manque d’activités physiques, entraînant alors une accumulation des réserves au sein du tissu graisseux.

Véritable fardeau pour la santé publique, l’obésité est facteur de risque majeur pour certains troubles et certaines maladies chroniques comprenant, entre autres, le diabète de type 2 (12 % contre 2 % en moyenne), l’hypertension artérielle (39 % contre 10 % en moyenne), les maladies cardiovasculaires (cardiopathie et accidents vasculaires cérébraux), les troubles musculo-squelettiques (dont l’arthrose et l’arthrite, 25 % contre 11 % en moyenne), la bronchite chronique (7 % contre 2 % en moyenne) et certains types de cancer.

Également synonyme de retentissement social et psychologique, elle entraîne en outre une limitation des capacités physiques et favorise une diminution de la qualité de vie. En outre, les sujets souffrant d'obésité sont davantage sensibles aux formes graves d’infection par le Covid-19.

Le plus souvent, des facteurs génétiques, alimentaires et environnementaux sont à l’origine du développement et de la progression de la maladie chronique qu’est l'obésité. Toutefois, cette maladie n’est pas une fatalité et peut être évitée via la mise en œuvre d’une prise en charge personnalisée et globale des patients et de mesures favorisant l’exercice physique, la consommation de produits sains, la délivrance de compléments alimentaires, de nutraceutiques ou de médicaments spécifiques, voire la mise en place de traitements chirurgicaux.

Une «épidémie discrète» en Suisse 

Depuis plusieurs décennies, le taux d'obésité en Suisse ne cesse de progresser et la tendance ne paraît pas fléchir. Les conséquences de cette véritable crise sanitaire sont majeures, non seulement pour la population, mais également pour la société suisse.

Selon l’Office fédéral de la santé publique (OFSP)
, 11,3 % de la population suisse était en situation d’obésité en 2017 (contre 8,1% en 1992). Cette situation véritablement alarmante est synonyme de conséquences dramatiques pour la santé de la population.

En outre, près de la moitié de la population suisse se trouve en situation d’excès de poids ou d’obésité. Ainsi, en 2017, 42% de la population adulte affichait un surpoids ou était obèse. Et depuis lors, les chiffres ne font qu'empirer. 

Les phénomènes d’obésité et d’excès de poids sont davantage répandus chez les hommes que chez les femmes. Ainsi, en 2017, 51 % des hommes suisses étaient en surpoids (38,7 %) ou obèses (12,3 %) contre 33 % pour les femmes (10,2 % en situation d’obésité et 22,8 % en excès de poids).

Les causes de l’obésité en Suisse

Plusieurs facteurs favorisent la croissance de l'obésité en Suisse. Une sédentarité accrue joue un rôle incontestable dans la propagation de cette « épidémie ». Ainsi, la sédentarité, des loisirs tels que la télévision ou des jeux vidéo et l’utilisation de la voiture et des transports en commun au titre des déplacements du quotidien tendent à favoriser une nette diminution de l’activité physique et par là-même, des dépenses caloriques synonymes de perte de poids. En outre, de nombreux citoyens suisses ayant un mode de vie très actif, il est parfois bien difficile d’intégrer une routine sportive quotidienne.

Un autre facteur à l’origine de l'augmentation de l'obésité en Suisse est la consommation d’aliments caloriques spécifiquement riches en glucides et lipides. Ainsi, de nombreux fast-foods et autres magasins de proximité proposent, à des prix relativement bas, une alimentation disponible à toute heure, facilement accessible et à la densité énergétique accrue En outre, la taille des portions alimentaires vendues en Suisse tendant à augmenter, le risque de suralimentation et de prise de poids s'accroît également.

Les conséquences dramatiques de l'obésité

En Suisse, les conséquences de l'obésité sont importantes et comprennent un risque accru de maladies cardiovasculaires (accidents vasculaires cérébraux et cardiopathies), de diabètes de type 2 et de certains types de cancer. L'obésité peut également avoir des effets négatifs sur la santé mentale en favorisant notamment la dépression et la faible estime de soi, mais également sur la santé physique en réduisant la mobilité. Enfin, elle est synonyme de lourdes dépenses sanitaires pesant fortement sur les comptes publics.

Ainsi, en Suisse, on estime que les coûts totaux engendrés par l'obésité et le surpoids seraient de l’ordre de 2 milliards de francs suisses (CHF) par an. Ces dépenses comprennent, entre autres, les coûts des traitements de certaines maladies liées à l'obésité, mais également les pertes de productivité occasionnées.

La prévalence croissante de l'obésité en Suisse est un problème majeur de santé publique nécessitant une forte attention et une action immédiate. Réduire cette prévalence et l’ensemble des conséquences sanitaires négatives en rapport nécessite la mise en œuvre d’une approche multidimensionnelle impliquant les individus, les prestataires en soins de santé et les décideurs politiques. La lutte contre l’obésité en Suisse nécessitera un effort soutenu dans le temps, mais les bénéfices pour la santé publique et le bien-être seront majeurs.

Les nutraceutiques aident à la perte de poids

Parfois appelés « aliments santé » ou « aliments fonctionnels » et présents sous formes de poudres, de comprimés ou de compléments alimentaires, les nutraceutiques (ou alicaments) sont des substances extraites d’aliments dont les effets bénéfiques sur la santé sont avérés. Les nutraceutiques sont à privilégier en matière de traitement de perte de poids et de réduction de l’obésité.

Ainsi, les alicaments, en aidant à la régulation de l'appétit et en favorisant la sensation de satiété, participent à la réduction de l'apport calorique et favorisent une perte de poids sur le long terme. Certains types de nutraceutiques tels que ceux à base de fibres ou les poudres protéinées peuvent aider à se sentir rassasié plus longtemps et entraîner ainsi une diminution des fringales et des grignotages intempestifs au cours de la journée.

Ensuite, les nutraceutiques peuvent favoriser la perte de poids en améliorant le taux métabolique de base et en aidant au brûlage des graisses. Il a été démontré que certains alicaments à base d’extraits de thé vert ou de caféine favorisaient l’élévation du métabolisme et entrainaient une accélération sur le long terme du processus de perte de poids via une optimisation de la combustion graisseuse.

Troisièmement, les nutraceutiques favorisent la santé et le bien-être général, ce qui est important en matière de perte de poids et de réduction de l'obésité. Ainsi, de nombreux nutraceutiques contiennent des vitamines, des minéraux, des fibres, des oméga 3, des probiotiques et des stérols végétaux spécifiquement bénéfiques pour la santé de l’organisme et aptes à soutenir naturellement le processus de perte de poids.

Enfin, ultra pratiques et d’accès facile, les nutraceutiques sont l’allié indispensable de tout régime alimentaire digne de ce nom. Bien souvent proposés en vente libre, les alicaments s’intègrent aisément au sein d’une routine quotidienne.

Globalement, les nutraceutiques sont donc un outil pratique, utile et accessible apte à favoriser la perte de poids et à réduire l’obésité. Ils régulent l'appétit, optimisent la combustion des graisses et boostent le bien-être, ainsi que la bonne santé de l’organisme. Néanmoins, même si ces superaliments sont synonymes de bienfaits, il conviendra de ne pas les consommer à forte dose et de les utiliser conjointement à une activité physique régulière et à un régime sain et adapté. De plus, la prise de nutraceutiques demeurera soumise à avis médical.

Notre objectif : lutter contre l'obésité en Suisse

Swiss Nutri GmbH a pour ambition majeure de promouvoir un mode de vie plus sain et de lutter contre l’obésité en Suisse. Dans cet objectif, nous commercialisons une vaste gamme de produits nutraceutiques à l’efficacité prouvée. Proposés sous forme de comprimés, poudres et compléments alimentaires, nos « aliments fonctionnels » aident à la perte de poids, favorisent le bien-être général et boostent la santé de l’organisme.

Unsere Produkte sind darauf ausgelegt, spezifische Ziele zur Gewichtsabnahme wie Appetitregulierung, Fettverbrennung und allgemeine Unterstützung des Wohlbefindens zu erreichen. Wir verwenden nur hochwertige Inhaltsstoffe und formulieren unsere Produkte sorgfältig, um eine maximale Wirksamkeit zu gewährleisten.

De formulation 100 % efficace et optimale, nos produits sont à base exclusive d’ingrédients de qualité supérieure seuls aptes à donner des résultats optimaux sur le long terme.  

Nous ambitionnons de promouvoir une société suisse davantage active et tournée vers un mode de vie plus sain. Réels outils puissants en matière de lutte contre l’obésité, les produits nutraceutiques que nous commercialisons sont spécifiquement destinés aux personnes soucieuses d’optimiser la santé de leur organisme et d’atteindre leurs objectifs liés à la perte de poids.

Sources:

  1. Swiss Federal Office of Public Health - Obesity: https://www.bag.admin.ch/bag/en/home/krankheiten/krankheiten-im-ueberblick/adipositas.html
  2. Obesity and overweight: Key facts - World Health Organization: https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/obesity-and-overweight
  3. Prevalence of obesity in Switzerland: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6135117/
  4. Economic burden of obesity in Switzerland: https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12889-020-8352-2
  5. Die Schweizerische Gesellschaft für Ernährung SGE - https://www.sge-ssn.ch/
  6. Schweizerische Gesundheitsbefragung 2017: Übergewicht und Adipositas - https://www.bfs.admin.ch/bfs/de/home.gnpdetail.2020-0257.html
  7. Effects of glucagon-like peptide-1 on appetite and body weight: preclinical and clinical data - https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22158422/